Il était une fois...

Après la grande infection, l'humanité et doucement parvenue à se reconstruire, les survivants ont commencés à se regrouper et a former de petits bastions pour contrer les attaques de zombies et reconstruire un semblant de société. Des marchands ont fait surface et ont commencé à faire des affaires avec les survivants, achetant tous les biens que les survivants ont pu récolter dans les terres désolées et vendant ce qu'ils ne pouvaient pas se procurer par eux mêmes. La vie à doucement repris son cours, le troc à lentement laissé la place à un nouveau système monétaire, les gens ont recommencé à travailler et à se spécialiser.

Mais les vastes étendues maintenant vides du Chernarus, ne sont pas sûres pour autant. Des hordes de zombies continuent à la parcourir. Elles sont hantées par des groupes de bandits qui ont préférés vivre du racket et du vol du travail des autres. Auparavant terrés dans les bois et les forêts pour échapper aux zombies et garder l'effet de surprise pour attaquer les petits groupes de survivants imprudents partis en expédition là où il n'aurait pas fallu... Mais le bandit a compris une chose : il est plus rentable de ne pas tuer mais de laisser partir sa victime, car la prochaine fois qu'il la recroisera, elle aura plus sûrement les poches pleines et il aura moins de chances de se faire bouffer si elle est vivante...

Mais la seule vérité inaliénable et que dans les terres désolées, un homme sans arme est un homme mort...

Cependant, il semblerait qu'un groupe d'hommes qui faisaient partie des opérations de secours de l'ONU au Chernarus, mais vite abandonnées face à l'ampleur du désastre au début de l'infection, auraient échoué sur l'île et chercheraient maintenant à essayer de monter, si non une armée, une milice, pour rendre les terres du Chernarus sûre à nouveau.

Les gens parlent aussi d'un groupe de survivants qui se seraient regroupés dans une ville fortifiée, et qui tireraient sans distinction sur tous ceux qui oseraient s'approcher, pour éviter tout risque d'infection.